dimanche 9 décembre 2018

No. 10

(English version following the french version...)
Où se cachent les 96% de l'Univers que l'on ne voit pas?
Notre perception de l’Univers et de son fonctionnement pourrait bien être fortement influencée par notre relation avec la Terre. Les pieds bien solides au sol, nous ne percevons le mouvement de la Terre qu’en fixant les yeux au ciel, la nuit. Il n’est donc pas étonnant qu’autrefois on croyait que la Terre était le centre de notre système solaire, sinon le centre de l’Univers. Des siècles d’observations par des experts utilisant des instruments puissants et précis ont carrément changé notre compréhension de l’Univers, et cet apprentissage est loin d’être terminé.
Deux poids, deux mesures
À mesure que de nouvelles données arrivent, on pourrait croire maintenant que le fonctionnement de l’Univers est géré par des lois physiques diverses. Certaines données semblent indiquer, par exemple, que le fonctionnement de notre système solaire suit la loi de la gravité que nous connaissons bien, mais que notre galaxie, la Voie lactée, répond à d’autres agents gravitationnels. Il y a de quoi à devenir perplexe!
«B» représente la vitesse de rotation des systèmes solaires dans une galaxie
«A» représente la vitesse de rotation des planètes dans un système solaire
Plus les planètes sont éloignées de notre Soleil, plus elles mettent du temps à compléter un tour autour du Soleil : ça ne fait aucun doute. Par ailleurs, les systèmes solaires à l’intérieur de la Voie lactée (environ 300 milliards de systèmes solaires) tournent autour du Trou noir à la même vitesse, nonobstant leur distance de ce centre. C’est, semble-t-il, la notion la plus coriace en astronomie actuellement. Tant que l’on ne connaîtra pas la nature exacte du Trou noir, cette incongruence tiendra les astronomes aux aguets.
Vera qui vivra
C'est surtout la découverte par l’astronome Vera Rubin qui a finalement donné naissance plus tard à la notion de la «Matière et de l’Énergie noire» (Dark matter & Dark energy). En fait, il s’agit d’une matière et d’une énergie qui seraient nécessaires pour que les galaxies fonctionnent comme la réalité le démontre. Selon les experts, il manque 96% de Matière et d'Énergie noires pour que l’Univers fonctionne comme il le fait. Le terme «noir» est ajouté parce qu’on ne peut identifier, capter, mesurer cette matière inconnue. Il n’en faut pas plus pour lancer un concours d’hypothèses et d’idées à ce sujet. Nombreux sont les astronomes qui se disent perplexes et dépourvus devant ce phénomène, et que dire des amateurs d'astronomie!

Il ne me semble toujours pas raisonnable de prétendre que les lois physiques diffèrent selon les endroits de l’Univers. Je persiste à croire que la gravité est universelle, bien qu’elle pourrait se manifester de diverses façons selon le contexte.
Albert a toujours eu raison
Albert Einstein et d’autres, soit avant ou soit après lui, ont clairement démontré la relation entre la masse et l’énergie. S’il existe de l’énergie sous forme de lumière ou de chaleur, par exemple, c’est qu’une masse est en train de se dégrader, de se transformer. De là, l’équation E = mc2.

Notre Soleil se dégrade donc : il se meurt à p’tit feu. C’est de la matière en décomposition, pour ainsi dire. Cependant, le Trou noir n’est pas de la matière, même s’il a une masse énorme, pouvant égaler la masse de millions de soleils malgré sa petitesse. Il y aurait davantage d’énergie que nous le croyons dans la matière. Le Trou noir, grâce à l’énorme pression et à l’intense chaleur, extrait d’un atome une quantité phénoménale d’énergie qu’il propage ensuite à la grandeur de la galaxie. Cette notion me guide présentement. Je m’explique.

Une conséquence, et non la cause
Le Trou noir ne peut exister de par lui-même. S’il existe, c’est qu’il est conséquence d’un phénomène électromagnétique découlant de la matière environnante, soit des milliards de systèmes solaires. Le Trou noir n’apparaîtrait pas avant la galaxie, mais serait produit progressivement par la galaxie.

Et qui plus est, la taille du Trou noir devrait augmenter en fonction de la taille de la masse environnante. Le Trou noir d’une petite galaxie devrait donc être plus petit que celui d’une plus grande galaxie. Mais, il y a plus encore.

Il faut répondre à la question-clé suivante : Comment se fait-il que le Trou noir de par sa voracité n’absorbe pas en peu de temps tous les systèmes solaires qui pivotent autour? Ou. Comment se fait-il que les systèmes solaires éloignés du Trou noir ne partent pas à la dérive pour ne plus revenir? Il y a «quelque chose» qui empêche les systèmes solaires de quitter la galaxie, en même temps qu’il leur permet de ne pas être rapidement avalés par le Trou noir.
Ne trouvez-vous pas que ce phénomène s’apparente à nos planètes qui «tombent» autour du Soleil? Oui, et c’est la cas. Une galaxie, c’est un tourbillon de systèmes solaires qui «tombent» autour du Trou noir. La seule différence, et c’est ce qui nous rend perplexes, c’est que les systèmes solaires éloignés ou proches du Trou noir circulent à la même vitesse.

Un hasard loin d’être hasardeux
On constate d’abord, que les galaxies sont des systèmes organisationnels qui se sont créés après le Big Bang au hasard un peu partout. En fait, ce n’est sûrement pas par hasard, mais par gravité. 

Progressivement, des noyaux de matière se sont formés pour devenir des ensembles immenses (galaxies) à l’intérieur desquels se sont aussi formés des ensembles plus restreints, des systèmes solaires. Le pivotement des systèmes solaires et des galaxies répond à un principe connu : de la matière sous pression dans un environnement donné pivote, à la manière de nos tornades ou tempêtes tropicales.
De plus, il me semble que ce phénomène de gravité n’est pas à sens unique. En même temps qu’il attire la matière vers son centre, il repousse cette matière en dégageant de l’énergie qu’il a retiré de la matière ingurgitée. Bref, la matière et l’énergie dansent le tango sur la musique de la gravité. 

Lorsqu’il y a production d’énergie, il y a présence de matière. L’énergie est produite aux dépens de la matière. Je me demande toujours si la gravité dégrade la matière comme c’est le cas pour d’autres formes d’énergie. Je ne sais pas.
Revenons sur Terre pendant quelques instants....
Les êtres vivants et inertes sur la Terre dépendent de deux forces gravitationnelles : celle liée à l’être lui-même et celle liée à la Terre. Un changement quelconque dans la gravité terrestre entraînerait ipso facto un changement dans la forme (...et les fonctionnement) de tous les êtres. 
Par ailleurs. nous savons qu’aller vivre pendant longtemps sur la Lune serait néfaste, sinon mortel pour les humains, la gravité y étant de la moitié inférieure à celle de la Terre. Pouvons-nous prétendre que partout dans l'Univers il y aurait ce jeu de relativité ou de danse entre des masses, qu’elles soient infiniment petites ou infiniment grandes? L’être humain a sa forme actuelle parce que la gravité interne de son corps est plus forte que celle de la Terre, bien que les deux agissent sur lui. La gravité de tout être terrestre serait en équilibre avec la gravité de la Terre, un exercice d'acrobatie continuel. Ce n'est pas une nouvelle pour vous, j'en suis certain. Mais, il ne faut pas l'oublier non plus.

Un système solaire voisin au nôtre peut être fort différent à cause de la nature intrinsèque du matériel de base qui le compose, donc de sa gravité. Il n’est donc pas étonnant que nos planètes soient nettement différentes. Puisqu’elles ont des masses différentes, leur distance du Soleil varie. Et puisque la Terre se trouve dans une position privilégiée par rapport au Soleil, c’est la seule planète qui montre la forme de vie que nous connaissons. La probababilité qu’il existe la même forme de vie dans d’autres systèmes solaires n’est peut-être pas aussi grande que nous l’estimons, car le moindre changement dans la gravité d’une planète peut empêcher toute forme de vie comme celle de la Terre.

Retournons au Trou noir.....
Assumons que le Trou noir est un collimateur et non une matière comme c’est le cas de notre Soleil ou toute autre planète de matière solide ou gazeuse. Cette affirmation est lourde de conséquences. La gravité exercée par le Trou noir doit bien avoir une sorte de masse atomique pour avoir un tel pouvoir d’attraction. Un Trou noir ne peut être vide, absent de matière. Pourtant, il semble que ce soit le cas.

NB. Le Trou noir se trouve toujours au centre d’une galaxie, et non ailleurs, à la périphérie par exemple. Une observation simple, mais qui ajoute à l’hypothèse que le Trou noir est une conséquence de la masse totale de la galaxie. Il n’existait pas avant la galaxie et il n’existe pas sans une galaxie.

Un grand vide plein d’énergie
On ne trouve pas dans un Trou noir de la matière similaire à celle qui compose un système solaire. C’est donc étonnant que de l’énergie semble se dégager de quelque chose qui ne soit pas de la matière : vraiment étonnant! Les conditions dans le Trou noir sont telles que nous ne pouvons détecter ce qu’il contient, seulement l’assumer.
On assume donc que  le Trou noir attire de la matière à partir de laquelle il extrait de l’énergie. Comme c'est le cas pour la matière, l’énergie du Trou noir est imperceptible ou invisible par nos instruments de mesure et de détection actuels. D’ailleurs, il en est de même pour la gravité que l’on ne détecte pas comme telle : on observe et on déduit sa présence par les conséquences sur la matière observable. Voilà la différence!

Comme le Trou noir exerce des pressions énormes sur la matière, il est capable d’en absorber une quantité phénoménale. Mais, où vont les résidus de cette transformation? Ils seraient rejetés sous une autre forme vers l’extérieur. Le Trou noir rejèterait donc une énergie noire : on la dit noire parce qu’elle n’est pas détectable. OOPS! Un astronome la détectée.....

J’assume ici un phénomène qui caractérise une masse atomique : elle attire et repousse en même temps, ce qui permet de conserver un équilibre temporaire dans une structure aussi vaste qu’une galaxie. Notre Soleil perdure parce qu’il possède cette caractéristique d’ambivalence : il retient et repousse en même temps. Pourquoi n’en serait-il pas de même pour le Trou noir....?

Le Trou noir a le bras long
Notre Voie Lactée a un diamètre estimé à un plus de 100 millions d’années-lumière. Comment un minuscule Trou noir peut-il influencer les systèmes solaires à la périphérie de la galaxie, soit à une distance de 50 millions d’années-lumières? Ce n’est peut-être pas aussi invraisemblable que nous le croyons, à en juger par la découverte d’un astronome....on y arrivera bientôt....patience!
Sur Terre nous percevons un haut, un bas, une gauche, une droite, bref des axes. J’assume que dans l’Univers, de tels axes n’existent pas. L’espace serait un vide complet ou un objet en mouvement ne rencontre aucune résistance : aucune! Les galaxies ne tomberaient donc pas comme nos planètes autour du Soleil, elle ne montent pas et elles ne changeraient pas de trajectoire à moins d’être attirées par la gravité d’une autre galaxie. Il me semble raisonnable plutôt de croire que la matière projetée au Big Bang continue sur sa trajectoire initiale, à peu de choses près. Certes, avec le temps, cette matière s’est regroupée en nuages de gaz et de poussières, en système solaires et en galaxies par la force de la gravité de la matière.
L’énergie accumulée par la matière propulsée par le Big Bang a perdu de sa vigueur à cause de la gravité totale de l’Univers. Comme les éléments de l’Univers s’éloignent, la gravité totale diminue. Cette gravité serait le seul frein qui a ralenti la vitesse d’expansion. Le frein imposé par la gravité ne serait pas parvenu à amener ce mouvement d’expansion à un arrêt complet, ce qui aurait pu entraîner la matière à un retour sur elle-même, et causer en bout de ligne un autre Big Bang. L’Univers serait en expansion parce que l’énergie de propulsion au Big Bang n’a pas été épuisée. 

NB. Si l’espace était constitué d’une «Matière noire», il est probable qu’elle aurait un effet de freinage, entre autres, sur la vitesse de la lumière qui, nous le savons, est constante. À tout le moins, elle finirait par être aborbée par les particules de cette matière noire, comme le faisceau lumineux de votre lampe de poche par une nuit brumeuse....L’espace me semble vide et sans axes : deux autres corrolaires de mon hypothèse de base.
Démêlons nos pinceaux
Pour plusieurs, lorsque l’on se réfère à la Matière noire ou à l’Énergie noire, on se réfère à l’espace entre les structures cosmiques telles que les galaxies et les systèmes solaires. Les experts sont catégoriques : il manque 96% de Matière noire dans leur équation pour expliquer le fonctionnement actuel de l’Univers. Par ailleurs, ils sont nombreux à prétendre que notre conception actuelle de l’Univers pourrait être erronée.

Certes, il existe de la Matière noire et de l’Énergie noire, mais ces éléments pourraient exister seulement à l’intérieur des galaxies et non dans l’espace qui les sépare. C’est mon hypothèse.
Le Trou noir dégagerait une quelconque forme d’énergie encore inssaisissable par nos instruments, une énergie d’une grande puissance qui affecte l’ensemble de la galaxie au point même d’assurer son fonctionnement.

Mais, comment cette énergie peut-elle affecter l’ensemble de la galaxie, donc les systèmes solaires? Je réintroduis ici le principe d’équilibre entre un système solaire et sa galaxie. La gravité à l’intérieur d’un système solaire est plus grande que celle provenant du Trou noir. Le plus intriguant, je me répète, c’est que la vitesse de rotation des étoiles à la périphérie est la même que dans l’environnement immédiat du Trou noir. Les galaxies éloignées devraient circuler à plus faible vitesse, ce qui n’est pas le cas. Comment est-ce possible, alors que les planètes éloignées dans les systèmes solaires qui composent la galaxie diminuent en vitesse de rotation?

Le diable est aux vaches
Parmi les explications, on peut imaginer que le Trou noir dégage une énergie uniforme qui ne perd pas de sa force lorsqu’elle se propage, comme la lumière. Une telle croyance n’est pas banale. Elle suppose justement une énergie que l’on peut qualifier de noire, qui ne fonctionne pas comme la gravité qui, elle, perd de sa vigueur en s’éloignant de sa source. Comme intrigue, on ne peut trouver mieux! Faut-il se surprendre que les experts tous azimuts en perdent leur latin....
Une énergie qui se propage à une distance de 50 millions d’années-lumière sans perdre de sa force initiale, c’est ce que les experts recherchent. Les efforts jusqu’à présent n’ont donné aucun résultat, à l’exception d’un résultat pertinent. L'astronome Marteen Schmidt a observé avec la technologie des ondes radio une énergie se dégageant du Trou noir qui va même au-delà de la galaxie. Cette découverte est significative et pourrait bien représenter la réponse tant cherchée.
Donc, ce ne serait pas le Trou noir comme tel qui agit sur les étoiles composant la galaxie, mais l’énergie émise par le Trou noir. Rien ne se perd, rien ne se crée, mais tout se transforme. J’oserais ajouter que, à la suite de cette transformation de la matière dans le Trou noir, il y a une perte nette de matière contenue dans la galaxie. Au final, le Trou noir n’aura plus rien à gruger avec le temps : il aura avaler toute la matière disponible dans son entourage.
La sempiternelle question
Mais, comment expliquer que la vitesse d’expansion de l’Univers augmente de façon vertigineuse, sinon logarithmique? Ici encore, les explications ne pleuvent pas. Cependant, cette question stimule l’imaginaire des humains autant que la nature véritable du Trou noir. Comment est-ce possible que l’Univers s’agrandisse de plus en plus?
Je me répète en assumant que la cause, c’est le Big Bang qui aurait envoyé tous azimuts la matière qui n’a jamais rencontré de résistance à part la gravité de l’Univers entier, gravité qui agit comme un frein, mais avec de moins en moins de force. La matière s’éloignant, la distance entre les îlots de matière en formation s’accroissant de plus en plus, les liens entre ces îlots sont devenus de plus en plus faibles, se traduisant par une augmentation de la vitesse de l'expansion.

Peu après le Big Bang, la matière était gonflée à bloc de cette énergie de propulsion, énergie qui a diminué sous l’influence de la gravité totale de l’Univers. Ces îlots de matière sont devenus des galaxies qui entretiennent de moins en moins de liens gravitationnels entre eux. Bref, le frein du départ au Big Bang perd de sa vigueur: la matière est encore chargée de cette énergie de propulsion transmise au Big Bang. L’Univers s’en irait donc vers le vide et l’isolement. La gravité entre les galaxies s’approchera de zéro sans jamais l’atteindre.

D’autres hypothèses
Certains experts prétendent que l’Univers est attiré par une force extérieure, ce qui explique l’augmentation de la vitesse d’expansion. Ça me semble improbable.

J’ajoute aussi que certains croient que la Matière noire existait au Big Bang et que c’est justement cette matière qui prend de l’expansion entraînant les galaxies vers un éloignement progressif. Comment cette Matière noire peut-elle avoir autant d’influence pour éloigner les galaxies les unes des autres sans avoir la même influence sur les étoiles de la galaxie, ces étoiles conservant leur position à l’intérieur de la structure? Ça me semble tout autant improbable....mais toujours possible!
Il existe à divers endroits observés des nuages de gaz et de poussières qui ont pu se former suite à l’explosion d’un corps céleste (galaxie ou étoile). Il me semble pertinent de savoir si ces nuages sont en voie de former d’autres étoiles ou galaxies, ou s’ils font eux aussi partie de cette expansion accélérée.
Conclusion
La plupart de ces nouvelles questions et de ces récents dilemmes ont surgit à la suite des données transmises par le télescope Hubble qui ont littéralement bouleversé notre conception de l’Univers. Par comparaison aux autres explorations spatiales, c’est bien peu de dépenses pour obtenir autant de résultats significatifs. Mais, il restera toujours des experts qui trouveront essentielle la nécessité de savoir s’il existe ou non de l’eau sur la planète Mars....


(English version)
Where is the 96% of the Universe that we cannot see?

Our perception of the Universe and its functioning may well be strongly influenced by our relationship with the Earth. Feet solid on the ground, we perceive the movement of the Earth only by staring at the sky at night. It is therefore not surprising that once it was believed that the Earth was the center of our solar system, if not the center of the Universe. Centuries of observations by experts using powerful and precise instruments have completely changed our understanding of the Universe, and this learning is far from over.

 

Two weights, two measures

As new data arrive, one might think now that the functioning of the Universe is governed by various physical laws. Some data seem to indicate, for instance, that the functioning of our solar system follows the law of gravity that we know well, but that our galaxy, the Milky Way, responds to other gravitational agents. There is something to be puzzled!

 
«B» stand for the rotational speed of solar systems in a galaxy
«A» stands for the rotational speed of planets in a solar system

The further the planets are from our Sun, the longer it takes to complete a tour around the Sun: there is no doubt. In addition, the solar systems inside the Milky Way (about 300 billion solar systems) revolve around the Black Hole at the same speed, notwithstanding their distance from this center. It is, it seems, the toughest notion in astronomy today. As long as we do not know the exact nature of the Black Hole, this "incongruence" will keep astronomers on the watch.
 
Vera was a starting point
It is the initial observation by the astronomer Vera Rubin that finally gave birth later to the notion of "Matter and Dark Energy". That's what is needed to explain why galaxies function the way they do. According to experts, 96% of Dark Matter and Dark Energy is missing for the Universe to function as it does. The term "dark" is added because we can not identify, capture or measure this unknown element. It does not take more to launch a contest of hypotheses and ideas on this subject. There are many astronomers who say they are perplexed, confused and baffled by this phenomenon, even more so for amateurs....

It still does not seem reasonable to me that the physical laws differ according to the location in the Universe. I rather believe that gravity is universal, although it could manifest itself in different ways depending on the context.
 
Albert has always been right
Albert Einstein and others, either before or after him, clearly demonstrated the relationship between mass and energy. If there is energy in the form of light or heat, for example, it is because a mass is being degraded and transformed. From there, the equation E = mc2.

Our Sun is consequently deteriorating: it is dying slowly. The Universe is a decomposing, so to speak. However, a Black Hole is not matter, even if it has a huge mass, which can equal the mass of millions of suns despite its smallness. Could there be more energy than we think in the matter? The Black Hole, thanks to the enormous pressure and intense heat, is extracting from an atom a phenomenal amount of energy that spreads throughout the galaxy afterwards. This notion guides me right now. Let me explain.

A consequence, not the cause
The Black Hole can not exist by itself. If it exists, it is the  consequence of an electromagnetic phenomenon arising from the surrounding matter, billions of solar systems. The Black Hole would not appear before the galaxy, but would be produced gradually by the galaxy.

Also, the size of the Black Hole should increase with the increasing size of the surrounding mass. The Black Hole of a small galaxy should therefore be smaller than that of a larger galaxy. But there is still more.

The following key question must be answered: Why the voracious Black Hole does not absorb in a short time all the solar systems that rotate around? Or. How is it that the solar systems far from the Black Hole do not go adrift and never come back? There is "something" that prevents solar systems from leaving the galaxy, while at the same time allowing them to not be quickly swallowed by the Black Hole.
 
Don't you think that this phenomenon is similar to our planets "falling" around the Sun? Yes, and it is. A galaxy is a whirlwind of solar systems "falling" around the Black Hole. The only difference, a puzzling one, is that distant or nearby solar systems are traveling at the same speed within a galaxy.

A chance far from being hazardous
We first note that galaxies are organizational systems that were created after the Big Bang "randomly" everywhere. In fact, it is surely not by chance, but by gravity. Gradually, nuclei of matter have joined together to become immense sets (galaxies) within which also smaller sets, solar systems, have been formed. The pivoting of solar systems and galaxies is based on a known principle: the material under pressure in a given environment pivots, like our tornadoes or tropical storms.
 
It seems to me that this phenomenon of gravity is not one way. At the same time that he attracts the matter towards his center, he repels this matter by releasing energy that he has removed from the matter he has absorbed. In short, matter and energy dance the tango on the music of the gravity. When there is energy production, there is material presence and degradation. Energy is produced at the expense of matter. I always wonder if gravity degrades matter as it is the case for other forms of energy. I do not know.
 
Let's go back to Earth for a few moments ....
Living and inert beings on the Earth depend on two gravitational forces: the one linked to the being itself and the one linked to the Earth. Any change in earthly gravity would ipso facto change the form (...and functioning) of all beings. Otherwise, we know that living for a long time on the moon would be harmful, if not mortal for humans, gravity being half of that of the Earth. Can we assume that everywhere there is such a «balancing act» between objects, whether infinitely small or infinitely large? The human being has its present form both because the internal gravity of its body is stronger than that of the Earth, even though both act upon him.
 
Another solar system can be very different because of the intrinsic nature of the basic material that composes it, and consequently of its gravity. It is therefore not surprising that even our planets are distinctly different. Since they have different masses, their distance from the Sun varies. Since the Earth is in a privileged position with respect to the Sun, it is the only planet that allows the form of life we ​​know. The likelihood that the same form of life exists in other solar systems may not be as great as we think, because a substantial change in gravity may prevent any form of life from occurring as that of the Earth.

Let's go back to the Black Hole.....
Assume that the Black Hole is a collimator and not a «solid sphere» as it is the case of our Sun. This statement is fraught with consequences. The gravity exerted by the Black Hole must have a kind of atomic mass to have such a power of attraction. A black hole can not be empty, absent from matter. Because nothing is visible from outside doesn't mean that there is nothing inside.

NB. The Black Hole is always in the center of a galaxy, and not elsewhere. It is an elementary observation, but one that adds to the hypothesis that the Black Hole is a consequence of the total mass of the galaxy. It did not exist before the galaxy and it does not exist without a galaxy.
 
A big emptiness full of energy
We do not find in a black hole a solid or gaseous object similar to our solar system. So, it's amazing that energy seems to be coming out of something that is not matter: really amazing! The conditions in the Black Hole are such that we can not detect what it contains, only assume it. Even the light does not come out of the Black Hole which, again, does not imply that it is empty.

We therefore assume that the Black Hole attracts material from which it extracts energy. Both matter and energy are invisible by current measuring and sensing instruments. But, it's also the case for gravity that we do not detect as such: we observe and deduce its presence by the consequences on the observable matter. That's the difference!

As the Black Hole puts tremendous pressure on matter, it is able to absorb a phenomenal amount of it. But where do the "residues" of this transformation go? They would be rejected in another form outward. The Black Hole would reject a black energy: it is called black because it is not detectable. OOPS! An astronomer detected something.....

I assume here a phenomenon which characterizes an atomic mass: it attracts and repels at the same time, which makes it possible to preserve a temporary equilibrium in a structure as vast as a galaxy. Our Sun persists because it possesses this characteristic of "ambivalence": it retains and repels at the same time. Could it also be the case for the Black Hole?

Black Hole has a long arm
Our Milky Way has a diameter estimated at over one hundred millions light-years. How can a tiny Black Hole influence solar systems on the periphery of the galaxy, at a distance of 50 million light-years? It is perhaps not as improbable as we think, judging by the discovery of an astronomer....we will get there soon.
 
On Earth we perceive a top, a bottom, a left, a right, in short axes. I assume that in the Universe, such axes do not exist. The space would be a complete void where an object in motion meets no resistance: nothing! That's fundamental to my hypothesis.

The galaxies would not fall like our planets around the Sun, they do not climb and they would not change course unless they are attracted by the gravity of another galaxy. It seems reasonable to me to believe that the material projected at the Big Bang continues on its initial trajectory. Certainly, over time, this matter has been grouped into clouds of gas and dust, solar systems and galaxies.
 
The energy accumulated by the material propelled by the Big Bang has lost its vigor because of the total gravity of the Universe. As the elements of the Universe move away, the total gravity decreases. This gravity would be the only brake that slowed the speed of expansion. The brake exerted by gravity was not enough to bring this movement of expansion to a complete stop. The Universe is still expanding because the propulsion energy at the Big Bang has not been exhausted.

NB. If the space consisted of "Black Matter", it likely would have a braking effect, among other things, on the speed of light which, we know, is constant. At the very least, it would end up being absorbed by the particles of this dark matter, like the light beam of your flashlight on a misty night.... The space seems empty and without axes: two corollaries of my basic assumption.
Let's unravel our brushes
For many, when they refer to Dark Matter or Dark Energy, we refer to the space between cosmic structures such as galaxies and solar systems. Experts believe that 96% of Dark Matter is missing in their equation to explain the current functioning of the Universe. On the other hand, many claim that our current conception of the Universe might be wrong. Is there something wrong with their equation?

Certainly, there is Dark Matter and Dark Energy, but these elements could exist only inside the galaxies and not in the space between them. This is my hypothesis.
 
It is a fact that a Black Hole is releasing some kind of energy that eludes our instruments, energy of great power that affects the entire galaxy and its functioning.

But, how can this energy affect the entire galaxy, and indirectly the solar systems within? I reintroduce here the principle of balance between a solar system and its galaxy. The gravity inside a solar system is greater than that coming from the Black Hole. 

The most intriguing fact, I repeat, is that the speed of rotation of the stars on the periphery is the same as in the immediate environment of the Black Hole. Remote galaxies should travel at lower speeds, which is not the case. How is it possible, when the distant planets in the solar systems are decreasing in speed?

The devil is to the cows
Among the explanations, one can imagine that the Black Hole exudes a uniform energy that is not loosing its strength when it spreads. Such a belief is not trivial. It assumes an energy that is not behaving like other kinds of energy and does not loses its vigor by moving away from its source, like light. For an intriguing phenomenon, we find no match! Should we be surprised that all-round experts are baffled?
 
An energy that spreads at a distance of 50 million light-years without losing its initial strength, that's what the experts are looking for. Efforts to date have not yielded any results, except for a relevant result. Marteen Schmidt has observed with radio wave technology an energy emerging from the Black Hole that goes even beyond the galaxy. This discovery is significant and may well represent the much sought after answer.
 
So, it would not be the Black Hole as such that acts on the stars of the galaxy, but the energy emitted by the Black Hole. Nothing is lost, nothing is created, but everything is transformed. I would venture to add that, as a result of this transformation of matter in the Black Hole, there is a net loss of matter contained in the galaxy. In the end, the Black Hole will have nothing to eat over time: he will swallow all the available material in his entourage.
 
The eternal question
But, how do we explain that the speed of expansion of the Universe increases in a drizzling way, if not logarithmic? Here again, explanations do not rain. However, this question stimulates the imagination of humans as much as the true nature of the Black Hole. How is it possible for the Universe to grow bigger and bigger? Well, if it's not getting bigger, it's getting at least more widespread.
 
I repeat myself in assuming that the cause is the Big Bang that would have sent all over the matter that never met resistance except the gravity of the entire universe, gravity that acted as a brake. The matter moving away, the distance between the islets of matter in formation growing more and more, the links between these islets became weaker and weaker.

Shortly after the Big Bang, the matter was loaded with a propulsion energy which decreased under the influence of the total gravity of the Universe. Gravity was still acting as a brake on the expansion. Islets of matter quickly started to take shape. These islets of matter have become galaxies that maintain less and less gravitational links between them with time. In short, the brake of the start to the Big Bang has been losing strength since the Big Bang. The universe is thus moving towards emptiness and isolation.

Other hypotheses
Some experts claim that the Universe is attracted by an external force which explains the increase in the speed of expansion. It seems unlikely to me.

I also add that some believe that Dark Matter existed at the Big Bang and that it is precisely this matter that is expanding, causing the galaxies to move gradually away. How can this Dark Matter have so much influence in keeping galaxies away from each other without having the same influence on the stars of the galaxy, these stars keeping their position inside the structure? It seems just as unlikely ... but always possible! All efforts to identify this type of Dark matter have turned no result.

There are in various places observed clouds of gas and dust that may have formed following the explosion of a celestial body (galaxy or star). It seems to me relevant to know if these clouds are in the process of forming other stars or galaxies, or if they are also part of this accelerated expansion.

Do gas clouds travel at the same speed as galaxies? Are galaxies travelling at the same speed?
 
Conclusion
Most of these new issues and dilemmas have emerged as a result of the Hubble telescope data that literally changed our view of the Universe. Compared to other spatial explorations, it is a small expense to get as many results. There will always be experts who will find essential the need to know whether or not there is water on the planet Mars....

Aucun commentaire:

Publier un commentaire